
Le président de l’entreprise, Shuji Utsumi, a avoué à la BBC que les services d’abonnement présents sur le marché s’avèrent fort intéressants. Il a candidement affirmé que sa firme se penchait sur la question et évaluait certaines opportunités. Évidemment, le président s’est empressé de préciser qu’il ne pouvait pas en révéler davantage.
Bien que Sega sache jouir présentement d’un catalogue riche en propriétés intellectuelles fort connues, les consommateurs ont de quoi s’inquiéter face à l’avènement de plus en plus de services d’abonnements. Depuis cette annonce, plusieurs joueurs ont avoué être anxieux face à la possibilité que Sega retire ses jeux des plateformes concurrentes.
Lors de son entretien avec la BBC, Utsumi-san a avoué qu’il aspirait à rendre à Sega sa gloire d’antan, faisant vraisemblablement référence à la gloire des années 90, en pleine rivalité avec Nintendo et leur franchise Super Mario.
Le président de Sega avoue que, depuis cette époque, son entreprise se serait concentrée strictement sur leur succès au Japon, négligeant leur présence et impact à l’international. Avant son arrivée en poste, ce dernier avoue que l’entreprise était obsédée par la gestion des coûts et qu’il souhaite ramener la mentalité bien plus désinvolte et rock’n’roll de l’époque. Après tout, dans les années 90, les campagnes publicitaires de Sega présentaient Sonic comme étant l’alternative cool de Mario.
Plus de détails à venir.
En collaboration continue avec
Créateur de contenu du Québec traitant d'actualités, tests, textes d'opinion, entrevues et concours. Marié et papa de deux petits monstres. Michel est constamment plongé dans une nostalgie profonde pour des dessins animés japonais des années 80 et 90.
De la Belle Province à vos yeux et vos oreilles, nos nouvelles, critiques et collaborations sauront divertir toute la francophonie vidéoludique.
Le tout vous est offert, sans publicités.
Je désire être avisé(e) lorsqu’un nouvel article sera publié!